Episode 47 : Blade Runner 2048+1

Épisode 47. C’est l’heure de parler de Blade Runner 2049.

Actu (00:01:00) : Après un point sur le « Death Note de l’émission », Kwyxz nous parle de ses concerts et Papa continue sa quête de la batterie parfaite.

La discussion (00:13:10) :  Blade Runner 2049
(SPOILER) est dans les salles.  ATTENTION très vite on va spoiler.

Nos recommandations (0:40:50) :
Papa:  Le bureau des légendes
Kwyxz :
Cuphead
Daniel : La comédie Coexister

Bonne écoute !

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Episode 47 : Blade Runner 2048+1
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12 réponses sur “Episode 47 : Blade Runner 2048+1”

  1. Euh,alors désolé,vous vous plantez quelque peu,car oui Deckard est un réplicant.C’est très clair.
    il n’y a pas d’ambiguité,le film se base sur le Final Cut de Bladerunner.
    Le miracle est la naissance d’un enfant issus de l’accouplement de deux réplicants,ce que recherche Wallace,dans sa quête d’un nouveau genre humain.

    Sinon,personnellement,je n’arrive pas a avoir un avis sur le film après visionnage.C’est effectivement un film qui se digère.

    1. Euh non, y’a rien de clair et encore moins dans le Final Cut de Blade Runner. Ce n’est pas parce que Wallace semble penser que Deckard est un réplicant que c’est le cas…

      1. Le final cut amène le souvenir de la licorne,d’ou l’origami en fin de film.Donc réplicant.Pour moi il n’y a pas plus vraiment de doute.
        Et Ridley Scott l’avait confirmé.

        Bon certes après avoir lu une interview ,ce qui complique, c’est que le scénariste du film est moins content que Deckard soit vraiment un réplicant,et en désacord avec Ridley,du coup,il peut y avoir confusion.

        Sinon dans BR 2049,le cheval de bois serait en fait une licorne,dont la corne est cassé,il y a une marque au niveau de la tete.

  2. Je pensais pas que c’était Daniel qui allait moins aimé ce film étrangement.
    Perso je sais pas trop quoi en penser. Je ne m’attendais peut être à autre chose. J’ai eu l’impression que Villeneuve a voulu faire une suite, un reboot et une réadaptation du livre dans le même film.
    En tant qu’objet, le film est splendide aussi bien visuellement que pour les oreilles. En tant que stand-alone je pense que le film fonctionne bien aussi. En suite ca marche aussi, on est loin du carnage qu’on redoutait tous. Mais je sais pas, j’ai aimé sans être énormément emballé. Un peu comme Arrival d’ailleurs, dont je vous conseille vraiment la nouvelle qui fait une centaine de pages. Je pense que la vision que Villeneuve a sur ces deux œuvres ne me convient sans doute pas.

    Pour l’histoire du box office, j’ai pas été voir les chiffres, mais j’ai été voir le film lundi à 17h au MK2 biblio et la salle était au mieux au 1/4 rempli. Avec une personne partie au milieu du film.

  3. Un film qui n’est clairement pas simple à appréhender et difficile à juger avec si peu de recul, mais pour le moment je suis plutôt team Daniel.

    Pour la science, avant d’aller voir Blade Runner 2049 j’ai pris la peine de regarder Premier Contact et finalement j’ai été d’avantage conquis par ce dernier, que je trouve mieux dosé et condensé.

    Parce que les 2H30 de Blade Runner, je les ai senti passer ! Que ça traîne en longueur… on saisit bien où le film veut aller, on est en phase avec ces émotions, mais trop souvent j’ai juste eu envie de crier : « Avance ! » Il y a un équilibre à trouver dans le contemplatif.

    :Spoil:
    Deux exemples : on le sait qu’il va retrouver le cheval de bois, on a déjà vécu le souvenir dans les fourneaux, pourquoi ne pas nous épargner de longues minutes d’errements de K sur ce même lieu, comme pour ménager un suspens qui n’existe pas.

    Ou le scène de « cache-cache » avec Deckard, pas le peine de s’éterniser, aussi beau soit le décors, c’est griller avant même d’entrer dans la salle de ciné qu’il ne vont pas s’entre-tuer et que ça finira autour d’un verre de Whisky.
    :Spoil:

    Pour le dernier combat, j’avoue que comme Daniel je n’avais pas été attentif pour comprendre où ça se passait. Mais baste, ce qui m’a plus fait tiquer, c’est qu’on ne sait pas comment K retrouve sa cible… Tout le long du film il y a une parfaite corrélation entre l’enquête de K et ses déplacements et soudain pour le final, osef, c’est dommage.

    Enfin, dernier petit bémol sur la partie sonore, c’est du classique Blade Runner, j’aime beaucoup et pourtant je trouvé que parfois ça exagérait trop dans le lancinant ou les coups de semonce pas forcément à propos, mes oreilles ont vécu une sorte d’ascenseur émotionnel ! 🙂

  4. Ptin j’ai cru que ça allait hate sur Sigur ros, j’étais pas prêt (les croches pattes sur mes ennem… amis runners étaient pas loin pour me calmer !). Du coup, oui, ils chantent en vonlenska (langue inventée) mais aussi en islandais (en anglais pour une chanson).

  5. Team Papa pour cet épisode. Sans être inoubliable, BR 2049 est un très bon film, et d’un point de vue industriel, le simple fait d’avoir réussi à en faire un vrai film de Denis Villeneuve et de réussir à trouver son identité propre est un exploit en soi.

    Villeneuve s’acharne d’ailleurs, peut-être un peu plus que de raison, à vouloir absolument gravir cette écrasante montagne avec élégance, et il multiplie les fausses pistes comme la présentation de Luv qui laisse croire à une nouvelle Rachel.
    Il a aussi su soigner son scénario pour garder l’essence de Blade Runner qui, somme toute, était un film noir à l’ancienne, à la John Huston, mais avec des voitures volantes et un jazz électronique.

    Joi est le meilleur personnage du film, et je n’ai pas eu l’impression que son ambiguité était détruite par l’hologramme publicitaire, mais j’étais peut-être dans le déni. Cette ambiguité est maximale dans la fameuse scène d’amour, qui est LE grand moment de cinéma du film, celui qui restera vraiment dans les mémoires : maximale car la prostituée engagée par Joi, Mariette, est elle-même une réplicante. Nous avons donc deux voire trois robots qui ont des rêves d’amour, donc de vie, indépendamment de l’intervention humaine…

    Tout n’est pas forcément très bon, la juxtaposition d’ambiances visuelles très différentes peut donner l’impression d’un manque de cohérence, on ne voit pas trop à quoi sert la bagarre longuette entre K et Deckard par exemple.

    Un point me trouble particulièrement et je n’arrive pas à déterminer si c’est bien ou pas : arrivé à un certain moment, j’avais l’impression de regarder un comic-book. Je « voyais » les bulles typiques des comics s’imprimer sur les dialogues, avec cette manière caractéristique de s’exprimer, par phrases sentencieuses successives, en appuyant le propos aux moments voulus (ce qui ressort en caractères gras dans les BD).

    Mais si ce Blade Runner est si bon, c’est SURTOUT parce qu’on sait que dans le futur, les flics d’élite de LA rouleront en Pigeot. 😀

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